Lors de ce long week-end de Noël, étant disponible, j'ai souhaité aller, en famille, à la Médiathéque de Trélissac.
Le mercredi 24 décembre, nous nous y sommes rendus et avons trouvé portes closes: une pancarte indiquait "fermeture exceptionnelle pour absence de personnel".
Le samedi 27 décembre matin, nous avons essayé de téléphoner. La premiére difficulté a été de trouver le numéro de téléphone de cette cité cachée: rien sur l'annuaire, rien sur le bulletin Trélissac activités ... et encore plus: nous avons téléphoné à la Mairie ouverte le samedi matin. Un Monsieur nous a trés aimablement indiqué son impossibilité de nous communiquer ce fameux numéro et qu'il ne connaissait pas les horaires d'ouverture ...
La mairie ne disposant pas de site internet la recherche sur la toile a tout de même permis grâce au site de l'ARPEL
http://arpel.aquitaine.fr/spip.php?article10476
de le récupérer.
J'en profite d'ailleurs pour vous le communiquer: 05.53.08.98.80
Mais ne vous réjouissez pas trop vite: le N° a sonné dans le vide et pas de répondeur pour apporter une quelconque information.
Le samedi aprés midi, nous nous sommes rendus sur place et avons trouvé portes closes. La médiathéque est fermée les samedis ... tout comme les horaires où les gens ont du temps libre ...
Au delà de ce cri d'humeur, je vous rappelle notre position sur la gestion de ce magnifique lieu culturel: il doit devenir un espace culturel ouvert sur l'ensemble de l'agglomération. A ce titre, c'est à la CAP d'en assurer les coûts de fonctionnement en prenant la compétence culture.
Lors des derniéres élections de mars 2008, telle a été notre position:
trelissac.elec.free.fr/spip.php?rubrique6
Après les coûts prohibitifs de la construction supportés par les trélissacois pendant de longues années à venir (les impôts des Trélissacois serviront à rembourser les annuités d'emprunt), les coûts de fonctionnement doivent être pris en charge par la CAP, permettant à ce magnifique espace culturel de bénéficier au plus grand nombre et d'avoir des horaires d'ouverture les plus larges possibles.
Jean-Louis GREGOIRE